midi007
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| موضوع: Nos derniers poèmes tristes الجمعة 16 أبريل 2010, 19:48 | |
| La Fée Abandonnée
Le temps s'écoule et s'affole la ronde des souvenirs, Ceux que l'on croyait enfouis pour ne plus resurgir. Je rêve à cet amour osé, déposé dans mon cœur, Ce temps là était Féerique et me laisse sans rancœurs. Je suis perdue dans le brouillard de la solitude, Tout m’a été donnée puis repris, envolée la plénitude. Fallait il connaître tant d’amour pour qu’il s’évapore, Me laissant sombrer dans l’agonie, sans réconfort. Les promesses d’hommes ne sont que des mots susurrés, Au creux de mon lourd cœur alangui, comme déchiré. Le goût de la passion fait place à une âcre amertume, Chaque jour devient un combat que tout mon être consume. Mon amour s’en est allés, brisant notre alliance, Abandonnée sur les rivages de la souffrance. Je flotte à la recherche de la tendresse, Perdue dans l’indifférence et la détresse.
Temps qui passe
Les jours se suivent et se ressemblent Et nous n'serons jamais ensemble Le temps s'efface et ne laisse place Qu'à la souffrance qui me glace Les heures s'égrènent et je soupire Tous les mots que je n'ai sus dire S'entrechoquent et ils me blessent Je voudrais te crier ma détresse Les nuits s'étirent silencieusement Dis moi Amour existes tu vraiment ? Fais mon un signe dans le noir Apporte moi un peu d'espoir Petit plein de chagrin Jour que j'espère sans lendemain Je voudrais que le temps s'arrête Ne plus jamais me dire peut-être
Mon miroir Dans mon miroir, je me vois blonde, en train de fondre en larmes de mon coeur devenu sombre oui, dans mon miroir, je vois une ombre qui renvoi direct dans une tombe celle de mon beau-père perdu une nuit sombre surement la plus noir de ma vie Pourquoi vous parler de mon miroir Je vous parle juste de mon désespoir Mais malgré sa, je garde espoir ! Que la vie redevienne joyeuse !
Souffle léger Souffle léger brise considéré les flots qui abandonnent la mer qui s'étonne Qu'est ce au loin cette voie qui de ses cris s'élancent vers toi à chaque pas, chaque mots ce remarquable sourire de l'eau celui qui dit c'est fini ton coeur est maintenant envahi de ce que tu n'a pas chassé de ta vie toutes ces souffrances, ces esprits Le coeur bien lourd tu soupir Il faut malheureusement encore choisir et cette fois ci fais pas en sorte que le bateau chavire plongée seule dans le calme de l'océan ce que tu demande n'y est plus a présent tu as perdu beaucoup trop de temps Et maintenant, il te rattrape de sa douceur il te frappe ce souvenir qui s'échappe longtemps grader au fond d'une trappe
Doux moments du passé
Doux moments du passés Ces moments si momentanément vécus Ton dernier souffle en un instant M’appris que de ce monde , que tu n’est plus Tu me manque maman… Toi, Qui a été la source de mon sang Toi, Qui m’a toujours protéger de mon inconscience Toi, Qui m’a toujours porter en ton sein, jusqu'à la fin de ton existence Toi, Qui a été la raison des doux moments Ces moments éternellement gravés dans mon cœur Tes yeux reflétant le plus beau des sentiments M’extirpant de tous les malheurs Tu me manque Maman... Toi, Qui a bercer mes nuits de mauvais rêves Toi, Qui m’a guider vers la voix de la bonté Toi, Qui m’a protéger de ta plus grande tendresse Toi, Qui a allaiter mon être de tes mots tant aimés Ces moment que seul toi a sus réellement adoucir Ta main dans la mienne à mes premiers pas de vie Me donnant le meilleur que tu puisse sans faillir Tu me manque Maman… Toi, Qui a fait jaillir en moi la flamme de joie Toi, Qui m’a si doucement baptiser de ton âme d’amour Toi, Qui m’a inculquer les véritables lois Toi, Qui a renoncer au richesses du monde pour moi Ces moments du passés à tes cotés Tes moindres traits qui sont les miens M’arpentent chaque instants avec des larmes coulées Tu me manque Maman… Toi, Qui a tant donner pour tracer mon long chemin Toi, Qui m’a jadis élever vers les plus haut cieux Toi, Qui m’a aimée et porter avec ses jeunes mains Toi, Qui a vieillit et marcher sur la contrée de dieu J’aurais voulus tellement te dire je t’aime…Maman…
Jours de vent Cœur sensible d’un être sublime Mon âme va trop longtemps enchaînée Mon âme demeure toujours affamée A la table de ce monde infirme Ma vie dure encore vraiment longtemps J’ai beaucoup attendu, marché tout le temps J’ai longtemps été à l’écoute des voix Aucune ne semble m’interpeller hélas ! J’ai bien tout observé mais ne vois Que ces mêmes ombres qui me lassent Cœur sensible d’un être éblouissant Mon corps est plein de choses sordides Alors que mon cœur lui est vide Alors que mes jours vont s’assombrissant... C’est toi qui guida Mes premiers pas Et ouvris mes yeux Sur l’Amour Jusque-là mes lèvres N’osèrent goûter A la coupe de ce vin Aujourd’hui enivré par toi Tu t’en vas Tu t’en vas si brusquement Comme dans ce rêve Où presque emporté Le sommeil nous fausse compagnie. Seigneur, entend ma voix Entend ma voix et tend moi la main Tend-moi la main Et conduis-moi vers la lumière Comme toi j’ai été livré par l’Homme Tout comme toi je n’ai trouvé place Parce que trop indigent Seulement toi tu es Dieu, fils de Dieu Et moi rien qu’un pauvre mortel Tu t’en vas dès cette heure vers ton père Mais moi, moi je retourne à la poussière. | |
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