midi007
العمر : 30 عدد المساهمات : 336 تاريخ التسجيل : 03/04/2010 علم الدولة :
| موضوع: Nos derniers poèmes de vie الجمعة 16 أبريل 2010, 19:38 | |
| Le temps qui passe J’ai peur du temps qui passe De ma vie qui défile Comme un avion de chasse Dans le ciel tranquille J’ai peur de la mort De se qui sent suie Il y auras t-il de l’or Ou peut être de la magie J’ai peur de demain De se que je vais entreprendre Que vais-je faire de mes deux mains Vais-je me surprendre On ma dit un jour Ne pense pas au lendemain La vie suis son cour Et tu n’y peu rien Je veut bien croire cela Mais comment pourrais-je faire Avancé je ne peut pas Car mon cœur écorché se perd Le terme a se poème Et que je vais tout tenté, Écouté les gens que j’aime Pour essayé d’avancé Oublié le mal qu’on ma fait subir Qui me ronge de l’intérieur Celui qui ma fait souffrir Je n’attend que son heure
Le sens de la vie La vie est combat continuel Qui n'a pour but que le bonheur d'un être Mais si ce combat s'avère hardi et rempli de souffrances Alors les ténèbres incombent l'Homme Mais l'Homme dans son intelligence Se relève de ses blessures Rempli de courage et enveloppé de sagesse L'Homme va de l'avant sans se soucier Du malheur qui pourrait le traverser Aveuglé par l'amour Son cœur enflammé d'un doux brasier Perdu dans ce vaste univers Fourvoyé dans ce monde perverti et innommable Il prolonge son châtiment Plongé dans l'obscurité et l'abîme Sentir la tardive agonie de son âme Oppressé par l'opacité de la perversion de ce cosmos Infini et insolent par sa grandeur L'Homme finit par trépasser Sans se plaindre et sans regret
La terre Je suis ici, nous sommes ici, Sur cette terre, inconnu, À cette terre verte et marron, Et à la mer bleue, Ou sommes-nous, Pour toujours, Coincé ici, On veut s'évadé. Ces millions de personnes, Inconnu, familières ou ressemblantes, Nous sommes pareille ou presque, Blanc, noir, créole, chinois, cela n'a pas d'importances Ou sommes-nous, Pour toujours, Coincé ici, On veut s'évadé Moi je suis la, Toi tu es la, Et sur cette terre, Personnes n'est au même endroit.
Vie Par là une prairie où coulent des flots purs Des neiges éternelles, une roche dur Quelques arbres vermillon, un imposant ravin Une montagne majestueuse, un lieu divin La rivière laisse glisser de l’eau, en bas Un frais liquide azur qui ne désaltère pas On étanche sa soif en regardant au loin Vers les cirrus blancs, où la pluie est crachin Une montagne au loin, un pic Un doux petit rocher Une modeste crique Les rayons chauffent le dos Et aident à avancer A atteindre le col Ne jamais renoncer Puis des nuages gris, une douce brise L’orage se prépare, la bise Ne pas se retourner et viser le sommet Encore quelques pas, la paix La vie a pris ici parmi les herbes folles Je peux mourir là tout en haut de ce col La nature souvent aime reprendre ses droits Celui de donner vie et de cesser parfois
Les saveurs du monde Longtemps, dans l'effroi, des tentacules obscures, j'ai suivi la lumière, au travers les paillettes, avec pour seul courage, la force des dorures, avec pour seul langage, les mots comme des miettes. J'ai tenté l'aventure, mon miroir en futur, pédalant dans le vide, assis dans les senteurs, les parfums d'outre-tombe, les gelées de murmures, les étoiles maritimes, se baignant de lueurs. Bientôt, je sentirai, de la terre toute entière, les brouillards des marées, les bruines de sèves blondes, les volcans de cuisines, les chauffes de l'enfer, le paradis des sens, toutes les saveurs du monde.
| |
|